• Il s'agit de 12 règles, données par la police de Seattie, dans l'Etat de Washington, aux USA, proposées aux parents qui désirent faire de leur enfant un bon délinquant :


    1. Dès l'enfance, donnez-lui tout ce qu'il désire. Il grandira en pensant que le monde entier lui doit tout.


    2. S'il dit des grossièretés, riez, il se croira très malin.


    3. Ne lui donnez aucune formation spirituelle. Quand il aura 21 ans, « il choisira lui-même ».


    4. Ne lui dites jamais : « C'est mal » Il pourrait faire un complexe de culpabilité. Et plus tard, lorsqu'il sera arrêté pour vol de voiture, il sera persuadé que c'est la société qui le persécute.


    5. Ramassez tout ce qu'il laisse traîner. Ainsi, il sera sûr que ce sont toujours les autres qui seront responsables.


    6. Laissez-lui tout lire. Stérilisez la vaisselle, mais laissez son esprit se nourrir d'ordures.


    7. Disputez-vous toujours devant lui. Quand votre ménage craquera, il n'en sera pas choqué.


    8. Donnez-lui tout l'argent qu'il réclame. Qu'il n'ait pas à le gagner. Il ferait beau voir qu'il ait les mêmes difficultés que vous.


    9. Que tous ses désirs soient satisfaits : nourriture, boisson, confort, sinon il sera « frustré ».


    10.Prenez toujours son parti. Les professeurs, la police lui en veulent à ce pauvre petit !


    11. Quand il sera vaurien, proclamez vite que vous n avez jamais rien pu faire.


    12. Préparez-vous à une vie de douleur ; vous l'aurez.


    Pour éviter qu'il devienne délinquant, le plus important est d'accorder du temps, de l'amour, des limites et, de la stabilité à l'enfant, de communiquer ouvertement avec lui et de lui montrer l'exemple. Ce n'est pas simple tous les jours, mais c'est le meilleur chemin.


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  • Les Sévices publics



    C'est comme le bal des quatre saisons,
    réglé comme du papier à musique...
    Trois ou quatre fois par an, au moins,
    orchestré comme un rituel, ils sévissent...
    Des millions de travailleurs mis à pied.
    Ce n'est pas possible ?
    Aucun patron, même le patron des patrons
    n'oserait... n'oserait penser à une chose pareille.
    Eh bien, eux, si.
    Eux, qui ?
    Mais les Sévices publics, bien sûr.
    C'est leur technique. Et drôlement bien rôdée.
    Parce que ça fait des dizaines d'années
    qu'ils s'entraînent intensément.
    Comme s'ils visaient la Coupe du monde.
    Et quand ça arrive, tout s'arrête.
    La France retient son souffle, arrête de respirer
    et manque même d'expirer.
    Elle est tout au bord de l'asphyxie.
    Les trains traînent sur les voies de garage,
    les bus stoppent le business,
    les métros trônent dans les terminus,
    les avions collent aux pistes,
    les lettres sont en poste restante...
    Bref, plus rien ne marche, sauf...
    Sauf les travailleurs mis à pied... qui marchent,
    piétonnent, piétinent, piétaillent, piétouillent
    avec leurs petits petons pour...
    Pour, je vous le donne en mille ?... Aller au boulot !
    Parce que tous ne sont pas encore rentrés
    dans les Sévices publics.
    Hé ! C'est qu'il faut être bardé de diplômes
    et bordé de mérite pour rentrer dans les rangs
    de l'élite de la nation.

    Ecoutez donc nos polis politicos
    quand ils en parlent de nos Sévices publics.
    Ils en ont plein la bouche, avec le langage châtié
    d'un dimanche matin de grand-messe.
    Tout politiquement correct. Pas un mot de trop.
    Pas un mot de travers qui pourrait contrarier
    le moindre fictionnaire.
    Ils n'ont pas intérêt. Sinon, le lendemain,
    c'est aussitôt le passage au débrayage en grande vitesse.
    C'est le seul cas où les Sévices publics
    réactionnent à tour de bras, au quart de tour.
    Alors, surtout pas de vagues.
    Et les politicos de claironner à qui mieux mieux
    que nous avons la chance, dans notre pays,
    d'avoir les Sévices publics les meilleurs du monde.
    Ah bon, il y a un championnat ?
    Bon... Bon... Quand je parle des Sévices publics,
    je ne mets pas tout le monde dans le même sac à malice.
    Il y en quand même qui bossent dur et dare-dare
    et qui servent plus qu'ils ne sévissent. Heureusement.
    Tiens, par exemple, je pense aux petites panseuses...
    enfin, oui... aux petites bandeuses des hôpitaux.
    Et parfois même bandantes, en sus, sous leur blouse blanche...
    Non, je n'ai pas dit "en suce", mais bien "en sus", "en plus".
    C'est fou ce que les gens ne prêtent l'oreille
    qu'à ce qu'ils veulent entendre !
    En tout cas, elles sont souvent vachement dévouées
    et se donnent corps et âme aux Sévices.
    Et les renseignants dans les écoles,
    qui, à défaut d'apprendre à lire et à écrire,
    essayent tant bien que mal de survivre
    dans des territoires sans foi ni loi,
    au milieu des guerres tribales de quartier.
    Enfin, bon, il ne fait pas bon, non plus,
    les contrarier par de quelconques contrôles
    ou bien des obligations de résultats.
    Comme votre mécano ou votre plombier.
    On fait ce qu'on peut à l'Educ nationale.
    Là, on s'autocontôle de son plein gré
    avec autoavertissement préalable
    afin de ne pas être pris au dépourvu
    et risquer de se voir absent ce jour-là !

    Non... Non... Loin de moi cette idée de confondre
    Lucette et sucette.
    Il y a Sévices et Sévices.
    Il y a les Sévices qui marchent... Ou à peu près.
    Avec les moyens qu'on leur donne.
    Et puis les Sévices publics
    pleins de fictionnaires assis, plus ou moins rassis,
    qui font marcher les usagers usés
    pour faire avancer leurs petites revendications.
    Avec toujours le même programme :
    grille des salaires, conditions de travail...
    Mais rarement de détails. Discrets. Discrets.
    Est-ce qu'ils veulent des sous-fesses, les lascars,
    pour éviter les escarres, Oscar ?
    Ou des primes supplémentaires, Théodule,
    pour les heures passées à surveiller la pendule ?
    Mystère. Ils sont en grève. Point.
    Et vous, vous attrapez la crève
    à vous échiner, à battre la semelle sur les trottoirs,
    sous la pluie battante ou sous un soleil de plomb.
    Selon la saison, Gaston.
    Non, mais à force de forcer, comme dit l'autre,
    on peut se poser des questions.
    Comment se fait-il que depuis tant d'années,
    c'est connu et reconnu,
    qu'ils ne sont pas contents de leur sort,
    qu'ils sont royalement mal payés
    qu'ils sont dans la précarité complète,
    sans aucune sécurité d'emploi,
    sans espoir d'avancement à la vieillerie,
    sans aucun petit avantage ou privilège,
    soumis à des contrôles de toutes sortes
    avec recherche de rendement maxi
    et, pour finir, une petiote retraite de misère,
    pas plus de cinq ans avant les autres,
    avec guère plus de soixante-quinze pour cent
    du salaire de la dernière année... après augmentation (!),
    comment se fait-il donc,
    mais comment se fait-ce que ces fictionnaires
    des Sévices publics ne songent pas
    enfin à changer de boulot ?
    Et surtout de patron !

    Quant à vous, à nous tous,
    les usagers usagés des Sévices publics
    si souvent aux abonnés absents,
    il serait peut-être temps, après toutes ces mises à pied,
    de prendre notre destin en main,
    de faire notre évolution, sans attendre quatre-vingt-neuf,
    et d'investir dans la roue, la roue libre,
    la roulette, la roulotte, Lolotte...
    Enfin tout ce qui roule (pas forcément sur l'or),
    mais capable de nous emmener au boulot :
    vélos, rollers, patins, pédalos...
    Et tournez manège...
    Roulez jeune homme. Roulez jeune fille...
    Roulez, enroulez, roucoulez.
    C'est écono, écolo, rigolo !
    Ça c'est l'avenir. Et sans Sévices.

     

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  • Une Australienne a trouvé une grenouille morte de 5 centimètres dans sa salade, alors qu'elle préparait un barbecue. La jeune femme a rapporté le tout au supermarché de Brisbane, où elle avait acheté le produit et a été intégralement remboursée.

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  • Hier en rentrant j'ai trouvé dans ma boite aux lettres ce papier fait par des locataires en colère ,j'ai trouvé ça ingenieux ,cela m'a fait sourire alors je vous le fait partager.


     


    «  Aux locataires du 14 rue du garde-chasse,Madame,Monsieur .Les habitants de l'immeuble sont en train de vivre un moment difficile préoccupés par les dejections qui polluent leur environnement quotidien et par l'OGIF qui les accuse de manque de civisme tout en voulant ajouter des charges de ménages.


    En tant qu'habitant de l'immeuble ,nous cherchons des solutions qui permettent de vivre en paix dans une bonne hygiène sans pénalités financières injustes.Vous aussi sans doute.Et si nous reflechissions ensemble aux solutions pour se sortir de cette situation.


    Voici note suggestion qui a le mérite d'etre equitable:


    La salive,les selles,l'urine portent la marque de l'identité genetique de leursauteurs .Puisque certains habitants de l'immeuble y repandent sur les vitres et dans l'ascenseur leur patrimoine genetique ,il est possible avec les techniques modernes de les identifier.Il suffit d'un prelevement de laboratoire et d'une analyse demandée par l'OGIF.Bien sur les frais de laboratoire seraient aux charges des auteurs des dejections que l'analyse revelerait.Qu'en pensez-vous .Avez-vous d'autres proositions?


    Des locataires. »


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  • Le Monde vu à travers le cinéma Américain


     



    • En Amérique, tous les numéros de téléphone commencent par les chiffres 555.

    • C'est facile pour n'importe qui de faire atterrir un avion du moment qu'il y a quelqu'un dans la tour de contrôle pour vous expliquer la manoeuvre.

    • Une fois mis, le rouge à lèvres ne coule jamais - même lors d'une plongée sous-marine.

    • Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est la cachette idéale. Personne ne pensera à vous chercher là et vous pourrez vous déplacer vers un autre endroit du bâtiment sans difficulté.

    • Si vous voulez vous faire passer pour un officier Allemand, il ne sera pas nécessaire de parler la langue. Un accent allemand suffira.

    • La tour Eiffel se voit de n'importe quelle fenêtre à Paris.

    • Un homme ne montrera aucune douleur s'il se prend la raclée la plus terrible mais il fera la grimace lorsqu'une femme essaiera de nettoyer ses blessures.

    • En payant le taxi, ne regardez pas votre portefeuille quand vous en sortez un billet - sortez-en un au hasard et présentez-le. Ce sera toujours le montant exact.

    • Dans une maison hantée, les femmes essayent de découvrir l'origine des bruits étranges dans leurs sous-vêtements les plus suggestifs.
      Corollaire : Quand elles voient les monstres elles ne savent que rester en place et crier très fort.

    • Les voitures qui se "crashent" vont presque toujours exploser et brûler.
      Corollaire : Le même résultat peut être obtenu avec des armes de petit calibre.

    • Le chef de la police suspendra toujours son détective vedette de ses fonctions - ou lui donnera 48 heures pour finir le boulot.

    • Une seule allumette sera suffisante pour éclairer une pièce de la taille du stade RFK.

    • Les paysans du Moyen-Age ont des dents parfaites.

    • Toute personne qui se réveille d'un cauchemar va s'asseoir tout droit et haletant.

    • Même en conduisant le long d'une route parfaitement droite, il est nécessaire de tourner le volant de manière vigoureuse de gauche à droite à tout moment.

    • Toutes les bombes ont des minuteries électroniques avec de grands chiffres rouges pour que vous puissiez savoir exactement à quel moment elle vont exploser.

    • Il est toujours possible de vous garer directement devant le bâtiment où vous allez entrer.

    • Un détective ne peut résoudre une affaire que lorsqu'il a été suspendu de ses fonctions.

    • Ca ne fait rien si vous êtes largement submergé par le nombre dans un combat du genre arts martiaux - vos ennemis vont patiemment attendre de vous attaquer un par un en dansant autour de vous d'une manière menaçante jusqu'à ce que vous ayez mis KO les précédents.

    • Les méchants ont toujours les armes les plus impressionnantes et sont toujours très mauvais tireurs.

    • Toute serrure peut être ouverte avec une carte de crédit ou un trombone en quelques secondes - à moins que ce ne soit la porte d'un bâtiment en feu dans lequel est coincé un enfant.

    • Les journaux télévisés parlent généralement d'une histoire qui vous affecte personnellement à ce moment précis.v

    • Dans chaque enquête de police, il est nécessaire de visiter un club de strip-tease au moins une fois

    • Les ordinateurs n'ont jamais de curseur à l'écran mais disent toujours:Entrez votre mot de passe

    • La plupart des systèmes informatiques sont assez puissants pour perturber les systèmes de communication de n'importe quelle civilisation extra-terrestre qui vous envahit.

    • Une clôture électrique suffisamment puissante pour tuer un dinosaure ne causera aucun dommage durable à un enfant de 8 ans.

    • Lors de chaque poursuite, le héros et le méchant se retrouvent toujours dans un entrepôt désaffecté très mal éclairé avec des escaliers en fer.

    • Le héros et le méchant peuvent se tirer dessus à bout portant au flingue, si ce n'est pas la fin du film, personne ne mourra.

    • Lors d'une bagarre avec le méchant, le héros peut se prendre des coups de barre à mine dans la tête sans saigner ni avoir mal mais si on le tape sur la tête dans son dos, il s'évanouit.

    • Les héros ne dorment pas et ne mangent pas, ils travaillent 24h sur 24.

    • Un héros peut décoder un système de sécurité en tapant très vite, n'importe où sur le clavier.

    • Utiliser la même méthode lorsqu'il y a écrit ACCESS DENIED sur le moniteur.

    • On trouve tout sur tout le monde sur Internet, numéro de carte de crédit, carte d'identité, antécédents familiaux.

    • Les plans d'une base secrète ou d'une nouvelle arme rentre sans problème sur une disquette (ils doivent utiliser winzip).

    • Les flics américains ont toute liberté de détruire la ville : accidents de voiture, incendie, vitrines défoncées.

    • les policiers américains ne font presque jamais leurs besoins

    • Les rares fois ou les policiers américains font leurs besoin, quelqu'un essaie de les tuer, ou bien ils entendent une conversation fabuleuse.

    • Ce n'est pas nécessaire de recharger un revolver américain, mais si pour des raisons esthétiques le policier américain le fait, son adversaire attendra qu'il ai terminé en respirant bruyamment derrière un poteau en béton.

    • Quand on lui tire dessus ou qu'on le tabasse, le policier américain a toujours un bon mot qui lui vient à l'esprit.

    • Les policiers américains boivent du whisky dans des bars sombre en écoutant du jazz quand ils ont des soucis, on dit qu'ils ont le mal de vivre. Pour commander ils agitent leur verre en direction du barman quec ela ne gène pas du tout d'être traité comme un chien et qui les resserre avec une bienveillance paternelle avant de leur dire que bon quand même, ils ont leur compte.

    • Les talkies et les radio des voitures de police américaines sont particulièrement audible. Le sonest nickel, sauf quand on en a vraiment besoin, ou que des extra terrestres approchent.

    • Quand un couple américain se sépare, il neige.


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