• "Eh bien tout dépend du casting. Enfin, je veux dire, tout dépend du type d'invités. Voyons voir ce que nous avons ici: un coureur cycliste, une ado, un super-héros, une racaille ?! mais qu'est-ce que... Bref, c'est bien partit pour mal finir.

    Lady Petits Maigres est la concrétisation du travail de plusieurs années de deux demi-douzaines de jeunes comédiens et d'un pianiste. Un spectacle divertissant pour tous ceux qui aime l'humour avec un grand U. Renevez-nous voir: il y a des nouveautés à chaque représentation!"

                               aLoRs
    "Entrez dans l'univers plus ou moins fascinant de l'auteur le plus incompris et le moins lu de sa génération"

    "

    Hier etait lançée la Première de Lady petits maigres ,une pièce de Paul-Victor Vettes et Adrien Le Ray

      çA sE pAsSe ToUs LeS vEnDrEdIs Du 28 AvRiL aU 30 jUiN 2006

                              Au "KoCoNa CaFé-ThEaTrE à 20H30

     

    46 rue de Buzenval,ligne 9

    Plein tarif : 10E,tarif reduit (chomeurs ,etudiants):8E

    Possibilité d'un diner-spectacle:20E

    Tel:0666473035

     

     


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    Après New York, Las Vegas, Londres, Barcelone, Genève, Tokyo, Sao Paolo, Moscou, Sydney, Bucarest et Prague... C'est au tour de Paris d'accueillir la Cow Parade, rebaptisée pour l'occasion Vach'Art.
    Quelques grammes de fantaisie dans les rues de Paris n'ont jamais fait de mal à personne, surtout quand c'est pour la bonne cause. En effet, en plus d'être une exposition populaire, Vach'Art est une initiative généreuse, puisque toutes les vaches seront vendues aux enchères après la manifestation au profit de l'association Africa Alive et du Programme Alimentaire Mondial.



    Du 10 avril au 16 juin, vous risquez de croiser dans les rues de la capitale de drôles d'habitantes. Des centaines de vaches de taille réelle, en résine, peintes, perforées, déguisées ou graphées par des artistes contemporains de toutes nationalités se "baladent" aux 4 coins de la ville.
    Paris se transforme le temps de quelques mois en un grand pâturage artistique dédié à l'art contemporain. Célébrée par les artistes depuis la préhistoire, la vache bénéficie d'une symbolique toute particulière : proximité de l'Homme et de l'enfance, animal nourricier, bienveillante et inoffensive.


    Des vaches et des hommes


    Des centaines de vaches de tailles réelles, en résine, peintes, perforées, déguisées ou graphées par des artistes contemporains de toutes nationalités seront exposées dans les rues de Paris tout au long d'un itinéraire.
    Après l'exposition, les vaches sont vendues aux enchères. Les fonds récoltés sont ainsi reversés à l'association Africa Alive (nutrition et lutte contre le sida) et au Programme Alimentaire Mondial.
    Ben & Jerry's, partenaire de l'événement, lance une opération de glaces gratuites pendant toute la durée de l'opération.



    voici le site officielle qui fait meuuhhhh: http://www.vach-art.fr/ 


                              Version internationale : http://www.cowparade.com/


     


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  •  Créé à l'initiative de Nicolas Sirkis, Indochine voit le jour en 1981. Jeune interprète à la recherche d'un guitariste, Nicolas publie une petite annonce ; Dominique Nicolas, jeune musicien de vingt ans, lui répond. De cette rencontre naîtront plusieurs maquettes dont « L'aventurier », futur grand succès.
    Le 29 septembre 1981, Indochine se produit pour la première fois sur la scène d'un bar branché Le Rose bonbon. Pour l'occasion, Stéphane Sirkis, le frère de Nicolas, qui joue du clavier, les rejoint. L'un de ses amis Dimitri Bodiansky, saxophoniste, s'associe à son tour à la formation.
    Sur scène, les quatre compères de fortune déchaînent les foules et se font rapidement remarquer par plusieurs maisons de disques. Déjà fidèle à son image, le groupe signe avec la seule maison de disques qui ne lui impose pas de changer de nom !

    Le premier 45 tours d'Indochine, qui paraît dans la foulée, passe inaperçu. Pourtant, quelques mois plus tard, le groupe fait de nouveau sensation lors d'un concert donné en première partie de Taxi Girl. Après la sortie d'un mini album « L'aventurier », Indochine reçoit, en 1983, un « Bus d'acier », récompense décernée par la critique rock.
    Un second album « Le péril Jaune » paraît en 1984 ; mais c'est avec « 3 » le troisième opus, qu'Indochine assied sa popularité. Les titres « Canary bay », « Tes yeux noirs », « Trois nuits par semaine » et « 3ème sexe » seront tous d'immenses succès. Avec 800 000 exemplaires vendus, Indochine devient le symbole d'une génération et le représentant d'une nouvelle vague musicale.

    Après un quatrième album « 7000 danses » et de nombreuses tournées en Europe, Canada et Pérou, le groupe semble s'essouffler. Dimitri quitte la formation pour se consacrer à son rôle de jeune père.
    Le trio est néanmoins déterminé à poursuivre la carrière du groupe. Après une période de repos, Nicolas, Stéphane et Dominique enregistrent un nouvel album « Le baiser ». Le premier extrait « Des fleurs pour Salinger » s'arrache à 300 000 exemplaires. Fort de ce succès, Indochine fête sereinement ses dix ans de carrière avec la sortie d'un « Birthday album », écoulé à 600 000 exemplaires.

    Les années 90 sont plus douloureuses pour Indochine qui peine à trouver sa place dans le nouveau panorama des musiques françaises. Dominique choisit, à son tour, de quitter le groupe.
    En 1996, Indochine publie une compilation souvenir de ses plus grands succès « Unita », ainsi qu'un nouvel opus intitulé « Wax ».
    Décidés à poursuivre l'aventure, les deux frères signent un nouveau contrat avec une maison de disques. Mais, quelques mois plus tard, Stéphane décède, laissant Nicolas orphelin d'un frère et d'un partenaire musical.
    La disparition brutale de Stéphane plonge Nicolas dans une profonde torpeur. Quelques mois plus tard, il publie « Dancétéria » un album hommage rendu à son frère dont est extrait « Juste toi et moi ». En 2000, Nicolas Sirkis entame une tournée « Nuit intime avec Indochine » suivi de la parution d'un album Live.

    En 2002, Nicolas Sirkis présentait « Paradize » un album estampillé Indochine dont furent extraits les tubes « J'ai demandé à la lune », « Mao Boy », « Le grand secret », interprété en duo avec Melissa Auf Der Maur et « Marylin ».

    Un quart de siècle après ses débuts en fanfare, le groupe revient avec un double album inspiré d'"Alice au pays des merveilles" et un nouvel extrait "Alice & June".
     
     
    Discographie
     
     
    1982 : 1er 45 tours : Dizzidence politik
    1er album 6 titres « L'aventurier »/extrait « L'Aventurier »
    1984 : « Le péril jaune »
    1985 : « 3 »/ extraits « Canary Bay », « Tes yeux noirs », « Trois nuits par semaine », « 3ème sexe ».
    1987 : « 7000 danses »
    1990 : Le Baiser « Des fleurs pour Salinger »
    1992 : « Le birthday album »
    1993 : « Un jour dans notre vie »/ extrait « Savoure le rouge »
    1996 : Compilation « Unita »
    1997 : « Wax »
    1998 : « Indo Live »
    1999 : « Danceteria »/ extrait « Juste toi et moi »
    2001 : Live « Nuits intimes »
    2002 : « Paradize »/ extraits « J'ai demandé à la lune », « Mao Boy », « Le grand secret », « Marylin ».
    2005 : Alice & June

     
    Voici un site interressant pour tout les passionnés ,les nostalgiques de ce pur rock français qui berça notre tendre enfance :
    http://www.indo4ever.com


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  • J'ai donné une appreciation personnelle,plus bas ,maintenant penchons nous sur l'article de J.M.Berniche qui nous apporte unpeu de lumiere sur certain points.

    Anatomie d'un cinéaste prodige

    Après quelques films "faits maison", le plus court moyen pour Steven Spielberg d'accéder au cinéma était d'investir les studios. C'est ce qu'il fait - en tout cas c'est la légende qu'il s'est longtemps plu à raconter - dans les années 60, s'appropriant un bureau chez Universal et flânant pendant deux ans sur les plateaux... sans jamais être démasqué. L'expérience étant peu concluante, il revient à la charge par des voies plus officielles, voies qui aboutiront à la réalisation très remarquée du téléfilm 'Duel' en 1971. Mais sa carrière prend une réelle tournure avec son second long métrage, film qui a traumatisé toute une génération de spectateurs : 'Les Dents de la mer'. Unanimement reconnu comme le premier blockbuster de l'histoire du cinéma, c'est grâce à ce film, au tournage pourtant long et laborieux, que Spielberg devient une valeur sûre de la machine hollywoodienne, et peut désormais passer à des projets plus personnels sans craindre le refus des financiers.

    En 1984, il fonde sa propre société de production, du nom de son court métrage 'Amblin' (1969). Elle permet à Spielberg d'assurer d'autant plus son indépendance, tout en profitant du plein appui d'Universal (Amblin Entertainment s'installant dans ses locaux). Un peu comme George Lucas qui se consacre exclusivement à la production, ou le cinéaste visionnaire Stanley Kubrick, Spielberg souhaite ne pas rendre de comptes aux studios, et aider de jeunes réalisateurs dont le talent est aujourd'hui avéré (Robert Zemeckis, Joe Dante...). Et l'étape suivante, c'est la création d'un studio réellement indépendant, affranchi des majors : ce sera Dreamworks, ou la réunion des trois grands noms - les fameux SKG - que sont Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg (ancien responsable de l'animation chez Disney) et le producteur David Geffen. Depuis 1919 et la création d'United Artists par Charlie Chaplin, Mary Pickford, Douglas Fairbanks et David W. Griffith, jamais un réalisateur n'avait plus créé un studio indépendant des majors. Une première, donc, qui augure du nouveau pour l'industrie, laissant libre cours à l'imagination des réalisateurs, pariant davantage sur l'originalité que sur le box-office.

    Que ce soit avec Amblin ou Dreamworks, Spielberg produit de nombreux films, dont beaucoup ont été des succès publics et critiques : 'Retour vers le futur', 'Gremlins', 'Men in Black', 'Shrek', les séries 'Urgences' et 'Band of Brothers', ou plus récemment 'Mémoires d'une geisha', projet dont il a finalement laissé la réalisation à Rob Marshall et qui sortira début mars en France. Mais chaque médaille a son revers, les dernières productions de Dreamworks ayant peu rapporté (notamment le pourtant très bon 'The Island' de Michael Bay), et l'accord de rachat des studios Dreamworks par Paramount est signé en décembre 2005. Si Spielberg n'y perd pas sa qualité de producteur, il est à redouter que de l'indépendance jusque-là prônée par le trio SKG ne restent que quelques réminiscences. Le rêve était beau, il aura duré 11 ans, et finit en beauté avec un sujet brûlant que peu de réalisateurs auraient osé tourner : 'Munich'.


    Un cinéaste a priori consensuel

    Derrière des sujets qui semblent parfois superficiels, Steven Spielberg signe des films profonds et personnels. Qu'il s'agisse de 'Rencontres du troisième type', son oeuvre phare empreinte de ses propres croyances, d''E.T.', évocation d'une famille éclatée (comme le fut la sienne), de 'Hook', dont le héros Peter Pan a toujours fasciné Spielberg, ou de la variation du conte de Pinocchio qu'il a réalisé avec 'Artificial Intelligence', tous ces films ont une portée considérable. D'une approche a priori simple, une analyse plus poussée révèle des films à la mise en scène exemplaire et à la photographie unique, chers à l'enfance du réalisateur, confrontant des gens ordinaires à des situations extraordinaires. C'est peut-être parce qu'il est capable de tout faire sur un plateau qu'il obtient un produit final proche de la perfection, et parce qu'il s'adjoint les services des meilleurs. Ainsi Janusz Kaminski, directeur de la photographie et membre de l'équipage Spielberg depuis 'La Liste de Schindler', ou Michael Kahn, récompensé notamment pour le montage des 'Aventuriers de l'arche perdue' et de 'Il faut sauver le soldat Ryan'. Et bien sûr, depuis 'Les Dents de la mer' et ses fameuses trois notes étouffantes, John Williams sera l'unique compositeur, primé un nombre incalculable de fois, de Steven Spielberg. A la question de savoir qui il choisirait pour la musique de ses films, toutes époques confondues, Spielberg répond du tac au tac : "Même avec Mozart, même avec Beethoven, il me faudrait toujours John Williams pour la musique de mes films." Au vu de l'excellente musique originale de 'Munich', on ne le contredira pas.

    Lorsqu'il s'attaque à des sujets plus graves, ses films font également référence. Avant de réaliser 'Munich' sur le conflit israélo-palestinien, Spielberg est passé par les thèmes de l'esclavage (l'excellente 'Couleur pourpre' en 1985, puis 'Amistad', moins réussi, en 1997), la guerre ('Empire du soleil' et 'Il faut sauver le soldat Ryan' dont la scène d'ouverture est un monument du genre) et même, à travers la comédie ou la science-fiction, à la critique acerbe de la politique américaine ('Le Terminal' et surtout l'adaptation presque intimiste de 'La Guerre des mondes'). Et, bien sûr, depuis 1993 et 'La Liste de Schindler', chef-d'oeuvre aux multiples récompenses, Steven Spielberg s'engage pleinement dans le devoir de mémoire de l'Holocauste, créant notamment en 1994 la Shoah Foundation destinée à recueillir les témoignages des survivants des camps.


    Munich

    Septembre 1972. Alors que les Jeux olympiques devaient célébrer la paix, un commando terroriste palestinien fait irruption dans le village olympique et prend en otage la délégation israélienne. Le gouvernement allemand, qui ne tient pas à être une nouvelle fois le théâtre d'un massacre juif, improvise une opération de sauvetage. Des 11 otages, pas un ne survivra. Le 5 septembre 1972 sera gravé à jamais comme un jour sanglant. Mais, comme le précise la bande-annonce de 'Munich', l'histoire ne s'arrête pas là.

    Un sujet délicat sur le terrorisme...

    Après 'La Liste...', on pouvait craindre que Spielberg fasse de 'Munich' une fresque politique pro-israélienne. Déjà bien avant la sortie du film, les médias s'interrogeaient sur la polémique qu'un tel film allait susciter. Or, il n'en est rien. Steven Spielberg a le mérite de garder systématiquement une objectivité "politique". A cet égard, la scène dans laquelle Avner (Eric Bana, parfait dans le rôle de leader tourmenté) et ses hommes se voient contraints de partager une chambre avec une escouade de l'OLP, cette dernière ne sachant qu'elle a affaire à des agents du Mossad, est magistrale, ironique et grave à la fois. Ce qui intéresse Spielberg, ce n'est pas tant cette tristement célèbre nuit du 5 septembre 1972 - qu'on retrouvera tout au long du film en filigrane, mêlant documents d'époque et fiction - mais l'escalade de violence qui s'ensuivit. En mettant en scène les assassinats des onze responsables de la prise d'otages des Jeux olympiques, Spielberg écarte d'emblée le suspense pour s'intéresser aux personnages. Des cinq agents du Mossad, tous en viennent à douter du bien-fondé de leur mission et sont rattrapés par leurs démons. Que ce soit Carl (Ciaran Hinds) pour ses convictions religieuses, Robert (Mathieu Kassovitz), gamin jeté dans la fosse aux lions à qui la situation échappe, Avner ou Steve (Daniel Craig), pourtant le plus résolu du groupe, la logique de la loi du talion s'émousse au fil des meurtres.

    ... et ceux qui font le terrorisme

    Mais le personnage le plus intéressant, c'est évidemment Avner. Homme ordinaire, il est une figure emblématique chez Spielberg, pour qui le principe de filiation revêt une grande importance. Avner existe en tant que "fils de", fils d'un ancien héros du Mossad - dont on ne connaît rien - et pour cette raison désigné au rang de meneur. Il est aussi père, celui d'un bébé dont l'absence lui pèse plus que tout, et dont l'amour lui permettra aussi de vaincre ses fantômes. Enfin, la relation quasi paternelle qu'il va entretenir avec "Papa" (Michael Lonsdale dans un rôle taillé sur mesure) finira de le plonger dans le doute. Avner est un pion au centre d'une lutte sans merci, tiraillé par de nombreuses questions : sa mission ne fait-elle pas de lui aussi un assassin, comme ceux qu'il pourchasse ? Pourquoi tuer un agent ennemi s'il est immédiatement remplacé, peut-être par pire ? Et enfin, tous ces meurtres vont-ils changer quelque chose, et sont-ils vraiment justifiés ? Les doutes d'Avner culminent dans la scène d'amour finale, débordante de haine et de colère : si Septembre noir a modifié un destin, ce n'est certainement pas celui des territoires en guerre, mais assurément celui des agents qui ont consacré leur vie à une cause dont ils ignorent les tenants et aboutissants. La dernière scène, dans le New York d'avant 11 septembre, rappelle qu'aujourd'hui la situation reste la même ; l'Histoire se renouvelle, nos erreurs aussi. 'Munich' s'inscrit dans ce devoir de mémoire qu'impose désormais plus qu'à son tour Steven Spielberg dans ses films, et devrait - encore une fois - mettre d'accord médias et grand public.


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  • je suis allé voir Munich samedi dernier ,je vous livre mon point of view.N'hesitez pas a laissez vos propre appreciations sur ce film ,cela m'interresse.

    Spielberg sillonne l'Histoire

    A l'instar de Woody Allen, réglé comme une horloge, il semble que Steven Spielberg sorte désormais un film par an. Et non des moindres. A l'occasion de la sortie de 'Munich', pleins feux sur celui qui a mis Hollywood à ses pieds.

    Munich:c'est le realisateur d'E.T dans tout son accomplissement! En effet aprés s'etre adonnée a un film semi-fantastiqueau scenario fantoche...fidele au bouquin...Spielberg deffraye la chronique,en nous replongeant dans la profondeur des eaux connues spielbergiennes.

    En effet ,Munich c'est l'exalatation de toute la philosophie spielbergienne.Et bien plus d'ailleurs car cette foi si le realisateur de "la Liste..." a choisi de traité un sujet actuel dont on connait deja les passions qu'il suscite.

    Munich c'est au premier plan le conflit israelo -palestinien ,mais ne retenir que ceci serai offensé le "maitre" et l'Humanité elle meme,dans la mesure ou sont abordés une pluralité de debat actuels ou plus eloignés.Ainsi ,le realisteur traite d'une lutte pour l'appropriation d'une terre,d'un pays,d'une origine...d'une Histoire ,mais egalement la confession,la politique,...

    Entre conscience collective et conscience personnelle,entre manipulation confessionnelle a but politique,entre choix collectif et choix individuel,entre amour pour la patrie et amour des siens ,Spielberg a réussi avec finesse a abordé un debat actuel,non reglé.

    Sorti du registre du fantastique pour celui de la realité ,cette oeuvre nous poursuit des la sortis du cinéma.

    En effet ,comme dans la plupart de ces films aux premiers abords facile et simple ,ne ouvons nous pas yvoir toutes une series d'interogations sous jacentes.

    Personnellement ,je vous livre la mienne: Comment compprendre ,a defaut de pouvoir l'expliquer, qu'avant la seconde guerre mondiale il s'agissait de la lutte d'un peuple contre un autre peuple,et qu'aujourd'hui il s'agisse d'une lutte confessionnelle...Comment comprendre le passage d'une guerre allemand contre français ou anglais et inversion...a celle de juifs ,chretiens,contre musulmans,et inversion...


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